sexta-feira, 29 de agosto de 2008




Está tão frio aqui...
Está tão gelado que... Sinto meus pés adormecerem... Estou perdendo o tato... Os meus olhos estão secos... O meu corpo está esfriando... Estou congelando aqui... Estou congelando aqui... EstoAlinhar ao centrou congelando... Estou congelando... Estou... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou com frio... Tão gelado quanto o gelo é meu coração agora... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... esquente-me... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... esquente-me... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou com muito frio... Minhas mãos estão congeladas... Minhas pernas também... Os meu labios estão ressecados... E meu coração está pedrificado... Uma pedra de gelo maciça... Frio... Esta frio... Esta frio... Friooo... Friooo... Friooo... Estou com frio... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou congelando... Estou congelando... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooo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o...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...
Me acostumei a viver em situações péssimas, hoje amo a vida mais do que amará antes.

Somente aqueles que já se perderam encontraram o verdadeiro caminho.

Nenhum homem é capaz de guia-lo pelo caminho certo, é necessário que você ache seu proprio caminho.

Você pode fracassar e sofrer por quase todos os dias de sua vida, porém esteja sempre preparado para o dia de sua glória pois, assim como o sol raia, a vitoria tarda mas não falha.

o tolo ve sempre um copo meio-vazio, um sábio vê sempre um copo completamente cheio, metade liquido e metade oxigênio.

Vendo através de minha óptica, qualquer homem que morra com uma bala de .500 S&W disparada a queima roupa em sua testa deve ser considerado igual a todos os outros.

Eu abomino o culto da beleza pois algo tão ridiculo quanto nasce ou não nascer portador da beleza não pode definir o destino de um homem.

Pense e então pense novamente nunca se canse de pensar pois a reflexão aproxima o homem da perfeição.

Canção Auspiciosa




Toda vez que eu cair vou me levantar...
Toda vez que eu cair não vou lamentar...
Toda vez que eu cair vou me levantar...
Toda vez que eu cair não vou mais chorar...
Toda vez que eu cair vou me levantar...
E eu juro que não deixarei ninguem me derrubar...
Toda vez que eu cair vou me levantar...
E para sempre será assim, pois ninguém pode me parar...
Toda vez que eu cair vou me levantar...
Toda vez que eu cair não vou mais chorar...
Toda vez que eu cair não vou lamentar...
Toda vez que eu cair vou me levantar...
Por que eu sou feliz e grito alto para o mundo....
A minha persistencia vai mudar meu mundo...
Toda vez que eu cair vou me levantar...
Toda vez que eu cair não vou mais chorar...
Toda vez que eu cair não vou lamentar...
E eu juro que não deixarei ninguem me derrubar...
E que para sempre e todo sempre vou me levantar...
Pois no chão eu não quero ficar...
Toda vez que eu cair vou me levantar...
Até que as adversidades eu possa superar...
Pois toda vez que eu cair vou me levantar....
Toda vez que eu cair não vou mais chorar...
Toda vez que eu cair não vou lamentar...
Por que eu sou feliz e grito alto para o mundo...
A minha persistencia vai mudar meu mundo...
E somente a verdade libertará o mundo...

quinta-feira, 28 de agosto de 2008

Envolto pela escuridão




Não existem coincidências...
Não existe sorte ou azar...
Não existe coisas inexplicaveis...
Não existe impossivel...
È tudo explicavel...
È tudo controlado...
Nem se quer um grão de areia que voa com o vento caira por acaso...
Nem se quer uma gota de chuva molhara um lugar ou um alguem por acaso...
Hoje neste dia auspicioso todos o ciclo está completo e o enigma então será revelado...
Todos os lados do cubo magico estão certos agora...
Isto abre um leque infinito de possibilidades...
Novamente cabe a mim, a você e a todos nós a escolha...

terça-feira, 26 de agosto de 2008

Eu é apenas um pronome para o meu eu...
O que seria eu...
Ressentimentos, momentos, desparecimentos...
Invisivel ou opaco, necessário e involutario...
Não faz sentido para você nem para mim...
Pois são apenas palavras e palavras são assim...
Não podem definir meus sentimentos...
Não podem classificar os momentos...
Não podem aliviar minha dor...
Não podem trazer felicidade...
Porém palavras são assim...
Formam frases e orações...
Que transmitem emoções e sensações...
Ola disse o lobo para o cão...
O cão feroz que quer meu coração...
Faz sentido...
Faz não...

quinta-feira, 21 de agosto de 2008

Ola para quem não me conhece ( levantando a hipotese que algum dia alguem ou melhor,
Mais alguem que eu não conheça venha a ler estas "maravilhas" que aqui escrevo.)
Meu nome é Renan sei que já disse isso outrora nos outros textos mas vamos la...
Imagine que isso é como um S.O.S que não deve ser respondido, não deve ser interpretado,
não deixe para mim um comentário apenas leia se quiser toda está baboseira pois,
quem sabe um dia você consiga entender o meu raciocinio incompreensível.
Bom de tanto observar constatei que o que difere o meu mundo do mundo que muitro provavelmente
você habita é uma tenue membrana transparente cuja qual não vejo maneiras ou metodos para
que eu possa atravessa-la, fura-la ou mesmo rompe-la.
Eu te amo, parece estranho pois não te conheço, talvez até conheça ou talvez não...
Talvez você me conheça ou melhor tenha me visto ou tenha ouvido comentarios ao meu respeito...
Bom sobre o que dizem são verdades e são mentiras...
Eu realmente te amo, eu gosto de você como um todo mesmo sem te conhecer, pois por pior que vc pareça...
voce é voce mesmo, original, unico(a), e no fundo todos somos mortais...
Queria muito poder rir com você...
Queria muito poder te conhecer...
Porém todas as vezes que já fiz isso faço algo errado...
Todas as vezes eu encontro aonde errei porém...
Apos feito tal erro as "equações do destino" ou "Paranoira Renantiana" o nome que você achar mais ilariante...
Termina com tudo como tudo temina...
Bom eu já conheci Headbangers, Punks, Emos, Normais, Velhos, Homems, Mulheres, Deficientes, Pagodeiros, Dj's,
Facunders, Funkeiros, Cowboys, Cowgirls, Lunaticos, Depressivos, Drogados, fazendeiros, professores, diretores,
Mães, Pais, alunos, vereadores, bom o mais variado e diferenciado tipo de cidadão ou humano que você pode imaginar...
Porém nunca odiei ninguem, nunca achei a vida de ninguém um tédio ou insignificante, nunca conheci ninguem que não
tenha me ensinado algo, seja algo grandioso, como algo pequeno, nunca conheci alguem que fosse de todo mal ou que
tivesse nele um mal que não pudesse ser explicado ou reparado, também nunca conheci ninguem que não amasse,
por mais terrivel que fosse alguem algo ou alguma coisa lhe importava...
Por certo tempo acreditava que a amizade era o sentimento mais puro do mundo, amava ou amo meus amigos, digo isso pelo fato
de poder neste momento citar ao menos 20 nomes que não são meus parentes ou familiares mais que de alguma forma mudaram minha vida,
alguns nem se quer tive o prazer de apertar suas mãos, ou lhes dar um grande abraço apertado, afinal chegavam até a mim
em forma de dados que então eram processados e meu querido monitor mostrava a mim o resultado do processamento feito por meu computador...
Bom outros eu abracei, eu apertei, eu cherei, eu estudei, eu chorei , eu ri, eu contei historias, eu ouvi historias, eu bebi com ele(a)s...
Visitei suas casas, vi seus pais, sei e sabia sobre tudo ou quase tudo que se passava em suas vidas, algums eu vi crescer, e 'cresci" junto com eles...
Todos eles conciderei e concidero ou conciderava, tudo que havia de mais precioso, como tesouros...
Eu me conciderava, concidero ou conciderei um cara de sorte pois enquanto algums usavam uma mão para contar os verdadeiros amigos que tinham...
Eu tinha que usar ao menos duas, porém, entretanto, mas, pergunto-me se essa recipocra era verdadeira até hoje e continuo sem resposta...
A verdade é que por mais que eu os conhece-se eu não me conhecia, conheço ou conhecerei, então não era possivel que eles me conhecessem...
Portanto este é o primeiro e também o ultimo erro que eu cometo logo de cara...
È complicado pois estou ha muito tempo neste estado e sinceramente, cada vez mais eu odeio as pessoas...
Nuss que controversia neh, primeiro ama, depois odeia, calma eu não odeio de verdade nada de errado com você...
Apenas eu sei o que irá acontecer a você se chegar perto de mim...
O mesmo que aconteceu aos outros e os outros antes deles e a todos que conheci...
Talvez alguem se indentifique com isso, mas não se preocupe você não tem nada somente eu tenho ó.ó lhe oderno que quaisquer infermidades habitem,
apenas o meu ser e ao teu ser sobre aquilo que é de mais puro...
Engraçado que ando refletino sobre isso, se eu tivesse um desejo não desejaria a morte...
Desejaria que ninguem jamais sentisse o que eu sinto ( sei que em textos passados e não tão passados assim)...
Desejará a morte mais compreenda quem nunca grita de dor coisas como (morra, eu quero morrer, quero te matar, deus me abandonou entre outros..
Uma vez sonhei que deus chegava a mim e me concedia um desejo, quaisquer coisa que eu pudesse pedir...
Então eu pedia que uma certa pessoa fosse curado(a)...
Acordei feliz por que desde aquele dia percebi que estava pronto para morrer desde então estou feliz...
As vezes triste as vezes não...
Bom pequenos e grandes leitores ( ninguem le isso aki ehaueh )
Até a proxima postagem aonde eu falerei sobre o que me atormenta de um jeito que vc entenda ou não..

segunda-feira, 18 de agosto de 2008

Mais Verdades ou Mais Mentiras

Ao inves de uma alcunha qualquer...
No lugar de meu nome...
Chame a mim de qualquer coisa...
Sim isto mesmo qualquer coisa serve...
Qualquer coisa vem aqui...
Qualquer coisa vem ali...
Já que não tenho definição...
Já que o pouco que tinha joguei o mais distante que consegui...
Já que em mim não sobra mais nenhum eu...
Chamo a mim a partir deste instante de qualquer coisa...
Eu perdi mais que palavras...
Eu perdi mais que fotos...
Eu perdi mais que musicas...
Eu perdi mais que dados...
Eu perdi algo a mais do que a minha vida...
Perdi quem me fazia sentir vivo...
Esqueci de quem me fazia sentir vivo...
Abandonei quem me fazia feliz...
Não aproveitei a felicidade que me era dada...
Adocei minha alma com açucar de satãn...
No começo é bem doce...
Depois amarga...
Mais amargo que o fel...
Eu perdi tudo...
Tudo que eu tinha estava na pessoa quem...
Quem não tem mais nome também...
Quem não vejo mais...
E eu achava que era intrepido...
E eu achava que era oniciente...
Pensava ser onipotente, pensava não temer...
Bom na realidade não temo mais...
Pois hoje sei o significado de nada...
São mais que meras palavras...
Perceberas tu que estás não sao bonitas...
Sim são desabafos de uma alma desesperada...
Trancafiada e maltratada por seu proprio amo...
Eu não sei viver...
Já tive tenho e terei muitas personalidades...
De fato sempre escondi, escondo e esconderei de ti a verdade...
Mas não que eu faça isso intencionalmente...
Simplesmente digamos que me acostumará a mentir...
Não para esconder a verdade...
E sim para cria-la...
Pois eu sou sinonimo de nada...
E isso não me parece interessante então...
Creio que ser algo além de nada...
Disperta a amizade que procurava nas pessoas...
Sim procurava...
Hoje acredito que eu sou antonimo de sociedade...
Não que eu não aprecie uma boa conversa...
Não que eu não goste das coisas corriqueiras da vida...
Muito pelo contrario eu tenho dentro de mim um mundo muito vasto...
Ou melhor dizendo um grande vacuo do qual eu reino soberano...
No qual eu sou mohamed ou italiano...
Neste vacuo incomensuravel...
Creio que morrerei assim...
Distante de todos em meu autismo esquizofrenico...

domingo, 17 de agosto de 2008

Desejo Frio


Eu não quero...
Morrer solitario...
Eu não quero...
Morrer sozinho...
Eu desejo seu ultimo "carinho"...
Eu desejo que a morte venha atraves de suas mãos...
Me mate...
Eu desejo sentir você uma ultima vez...
Me mate...
Eu lhe suplico...
Me mate...
Acabe comigo...
Me mate...
Eu lhe suplico...
Não desejo terminar solitario...
Desejo você...
Com uma lamina...
Esse é o meu fetiche...
Sentir prazer em sentir dor...
Dor provida por você...
Me mate...
É o que eu desejo...
È o que eu mereço...
Só você...
Me mate...
Sò você...
È o meu desejo...
Eu não tenho medo...
Eu te quero...
Eu te desejo...
Me mate...
Não quero viver solitario...
Me de um ultimo "carinho"...
Me mate...
Eu te quero tanto...
Sentir você...
Uma ultima vez...
Me mate...
Por favor...
Eu lhe suplico...
Eu lhe imploro...
Me Mate...

sábado, 16 de agosto de 2008

Querido Diario...




Querido não, por que querido é coisa de boiola...
Meu punhado fetido de bytes hospedados...
Considerando-se o fato de que os computadores ainda não exalam o aromas ou fedores...
A não ser quando estão no estado de novo, queimado ou sujo mas mesmo assim não vem ao caso...
Você é meu unico amigo...
Novamente levando em consideração que tu não és vivo...
Não és provido de "alma", "conciencia" ou "intelecto"....
Responde-me mas apenas como fora programado a fazer...
Não me questiona ou sujestiona nada...
Porém mesmo assim és justo fiel e util a mim...
Talvez todos os computadores sejam assim...
Ligados através de uma interface wireless desconhecida...
Interface está que funciona de maneira independente de software ou hardware...
Não ha drivers nesta questão...
Apenas bytes sendo transferidos em uma conexão ilimatada full-duplex...
Encriptografada a 1024 elevado 10 elevado a 1024 bits...
Algo recipocro eu diria...
Você toca as melodias..
Que acalmam meu coração...
Você dá a mim o poder de explorar o universo...
Sem ao menos sair do meu quarto...
Dá a mim a chance de criar algo que jamais outras pessoas compreenderão...
Talvez eu escreva meu nome na historia...
Porém será uma assinatura digital concerteza...

quarta-feira, 13 de agosto de 2008

Existencia Vazia

A natureza é perfeita...
Tudo vive em armonia...
Todos dançam sobre o ritimo da mesma melodia...
Por isso, quando você observa a natureza...
Se sente tão bem...
Pois é como um balé perfeito...
Ou uma grande orquestra...
Mesmo que você não ouça ou não enteda a melodia...
Coisas perfeitas fazem você sentir...
A natureza é assim...
A chuva dança com o ar enquanto cai de encontro a terra...
A chuva dança com a terra seca...
E depois dança com as pedas...
Com as plantas e com você também...
O vento dança com seus cabelos...
As folhas também dançam com o vento...
Seus pes dançam com a terra...
Seu espirito dança com a vida na terra...
As formigas existem por um proposito...
Os tamanduas também...
Pense sobre o que lhe disse...
Se duvidas...
Tire suas duvidas dançando na chuva...
pense tudo existe por um proposito...
Não viva sem saber o seu...
E não morra sem completar o seu proposito...

Amor Amor




O amor é um sentimento tão puro...
Um sentimento tão bonito...
Um sentimento simples a quem o vive / o sente...
Porém tão complexo para quem tenta o compreender...
È tão facil falar de amor...
Que até mesmo um jovem tolo como eu consegue escrever coisas bonitas...
Usando o amor como a base...
Mas creio não entender o amor...
Temo nunca ter o vivido plenamente...
Acho que meu coração com medo de sentir dor...
Nunca deixou que o amor o domina-se completamente...
Já disse milhares de vezes eu te amo...
Já fiz milhares de coisas para tentar provar que estas palavras eram verdadeiras...
Entretanto meu coração mantinha-se distante...
Congelado e ofegante...
Todas as portas estão trancadas para o amor...
Pois se algo não sair como o esperado...
Meu coração pode jogar tudo para fora deste corpo...
Até mesmo a sua propria vida que ele não ama...
Ele pode se livrar de tudo...
Bastando apenas querer...
Por isso acredito...
Que não conheço o amor...
Acredito que já chorei...
Mas não por amor...
E sim por não senti-lo...
E sim por estar vazio...
E sim por ser sombrio...
Mas nunca por amor...
Meu coração não sangra...
Por que ele nunca deixou que ninguem o tocasse...
Se algo o machuca é ele mesmo...
Se algo o pertuba é sua solidão...
Se ele tem duvidas é por não escutar a razão...
Se ele tem frio é por não abraçar o amor...
Ele sempre se contentou em ouvir de longe a voz amada...
Em observar por fotos e por cartas a pessoa amada...
Nunca teve a coragem de se arriscar...
Tem mais medo de que alguem o machuque do que da propria morte...
Por isso ele vive contando com a sorte...
Bebendo o fel...
E nunca o mel...

sexta-feira, 8 de agosto de 2008

Destino, Destinado, Destinação, Destinamento,

As folhas secas caem uma a uma...
E a arvore está quase nua...
E meu sangue ainda quente...
Escorre por suas raizes secas...
Molhando o solo...
Adubando a vida...
Meus olhos se fecham...
Sinto-me exaurir...
Meu coração já fraco..
Bate cada vez mais devagar...
Minha vida passa por minha mente...
E vejo que nada fiz de diferente...
E vejo que nada fiz realmente...
Vejo que nunca vivi...
Vejo por que estou ali...
Vejo o que devia ter feito...
Mas não me arrependo...
Tive uma vida de medo todo esse tempo...
Mas somente na hora da morte...
Enchergo as trilhas por onde caminhei...
As respostas dos enigmas que não pude decifrar...
Os amores que eu perdi...
O tempo que eu desperdicei...
E aonde exatamente errei...
E como era facil concertar...
Descubro o verdadeiro culpado por meu morbido fim...
Tenho sorte...
Pois tive minha vingança matei a quem me fez mal...
Estava morrendo por minhas proprias mãos...
O céu não espera por mim...
O inferno estava aberto ali...
Entre anjos e demonios...
Entre o céu e a terra...
Entre a vida e a morte...
Entre as duvidas e as certezas...
As folhas secas caiam sobre meu corpo...
Pareciam querer me cobrir...
Pareciam terem empatia com a minha dor...
E nesse momento...
Sentia-me cada vez mais distante...
E ao contrario do que dizem...
Não havia luz no fim...
Apenas as trevas esperavam por mim...
Clamando por meu nome...
Desejando o meu sangue...
Querendo a minha alma...
Esperando pacientemente a minha morte...
Foi então que tive certeza que era o fim...

Alma de Fel



Eu so quero...
O seu dinheiro...
A sua carteira...
Seu coração...
Suas emoções...
Sua felicidade...
Sua familia...
Até mesmo a verdade...
Não me importa...
Não me incomode com suas bobagens...
Me de seu dinheiro...
Eu não quero saber de suas frustrações...
Estou pouco ligando para suas emoções...
Quero somente ações na bolsa de valores...
Dinheiro ou cartas de credito...
Se sua familia vai mal...
Se sua casa passa por dificuldades...
Se existe tragedia...
Se existe miséria...
Eu pouco me importo...
Quero que você se dane...
Que você se ferre...
Mas não esqueça de me pagar...
Quero so o seu dinheiro...
È o que importa...
È o que move a vida...
È o que gira o mundo...
De você é tudo que importa...
Tudo que você é depende de quanto tem na carteira...
Se não tem dinheiro que morra em outro lugar...
Se tem dinheiro vamos negociar...
Foda-se se sua familia vai mal...
Se seus negocios afundam...
Se sua saude é precaria...
Morra mais não deixe de me pagar...
Quero mais é que a miseria...
Quero mais é que a desgraça...
Venham lhe levar...
Mas morra com meu dinheiro em seu bolso...
Pois mesmo morto venho de você pegar...

De você somente o necessário para sobreviver.



Que porra de psy trance rebolation o caralho do inferno na buceta da tua mae porra..
Assim que se canta essa musica...

Eu so quero...
Eu so quero...
De você o necessário para sobreviver...
Eu so quero...
De você relações comerciais e nada mais...
Somente o necessário para sobreviver...
To me fudendo...
To me lascando...
Se você está morrendo...
Se você está sofrendo...
Se você está chorando...
Não tenho amigos...
Não quero amigos...
Quero apenas seu dinheiro...
E mil maneiras de obtelo...
Eu so quero...
De você o necessário para sobreviver...
Se te trato bem...
È por que ainda presciso de você...
Se eu converso...
Se eu me calo...
È so porque quero ter relações comerciais com você...
Eu so quero...
Eu so quero...
De você o necessário para sobreviver...
Seu dinheiro...
È a unica coisa que me enteressa...
Ter dinheiro é a unica coisa que interessa...
Você que se dane...
Que fume maconha com o capeta...
Que se foda, se exploda...
Que morra...
Quero apenas acordos comerciais...
Desfrutar dos lucros...
Eu so quero...
De você o necessário para sobreviver...

De dentro para fora


Não fui cincero...
Nem comigo...
Nem contigo...
Quebrei o silencio...
Que dava paz as jazidas em meu coração...
Agora que meu mal está desperto...
Tenho que conte-lo...
Antes que ele consuma a mim...
E consuma a ti...
E consuma o mundo...
Uma eterna luta cuja qual será eternamente um empate...
Ele preso em mim...
E eu preso a dele...
Guardião de seu tumulo...
Anjos e demonios de verdade...
Existem coisas além do céu azul...
Em um outro plano...
Invisivel a olhos humanos...
Na noite escura...
Com a grande lua...
As coisas ruims vagam livre...
Somente Deus pode livrar você...
Somente ele pode proteger você...
De ser consulmido pelas trevas...
Pelo escuro dos olhos...
Pela mentira da boca...
Da dor profunda...
Dos enganos da alma...
De seu fragil coração...
Dos prazeres da carne...

quinta-feira, 7 de agosto de 2008

Escuro

Estou sozinho...
Em meu caminho a muito tempo...
Sem proteção...
Sem benção...
Sem nehuma chance...
Indefeso luto todos os dias contra meus proprios medos...
As vezes os venço e as vezes perco...
Me perco...
Mas de algum jeito me acho...
Me levanto...
Me acalento...
Seco o meu pranto...
Me abraço forte...
Digo-me palavras de conforto...
Digo-me palavras de esperança...
Invento frases, e danças...
Invento historias e lendas...
Beijo meu corpo e sigo...
Não tenho tempo para chorar...
Não tenho tempo para fraquejar...
Só tenho tempo para levantar...
E continuar a caminhando...
Andando...
Correndo...
Rastejando...
Engatinhando..
Não importa como eu me locomova...
Eu não paro...
Eu não desisto...
Eu sempre venço...
Mesmo que seja na prorrogação do segundo tempo...
Eu não morro...
Eu não mordo..
Eu não tenho medo...
Eu me rasgo por dentro...
Eu me mutilo...
Eu persisto...
Eu consigo...
Meu caminho é solitario...
Inimigos não me faltam...
Pedras no meu caminho...
Flores com espinho...
Eu supero...
Eu me supero...
Eu espero...
Eu sigo...
Eu continuo...
Eu me desespero...
Eu consigo...
Eu sou meu unico amigo...
Eu sou minha propria lenda...
Eu sou meu unico sol...
Eu sou o meu vento...
Eu sou a minha dor...
Eu sou o meu favor...
Eu sou a minha sorte...
Eu sou o meu começo...
Eu sou o meu fim...
Eu sou assim...
De fora para dentro...
E não de dentro para fora...

Portugues

Eu não sei...
Pronunciar corretamente todas as palavras...
Eu não sei...
Eu não sei...
Eu não sei...
Acentuar corretamente todas as palavras...
Eu não sei...
Eu não sei...
Eu não sei...
Simplesmente não sei...
Separar as orações e usar a virgula...
Ditongos, tritongos e hiatos...
Eu não sei...
Verbos, adjetivos e substantivos...
Eu não sei...
Eu não sei...
Eu não sei...
Portugues...
Portugues...
Portugues...
Mais por que...
Mas um o que ?...
Eu não sei...
eu não sei...
Acentuação, correção, motivação...
Derivado, analitico, sindetico ou sintatico...
Politico perdido amigo eu não tenho...
Eu não sei...
Confusão...
Eu não sei...
Desejei mais não alcancei...
Sonhei mais não voei...
Pintei mais ninguem entendeu...
Escreveu...
Escrever...
Eu não sei...
Aonde se esconde...
O sujeito oculto...
Eu não sei...
Se é gerundio...
Se é infinitivo..
Se é reto ou oblicuo...
Eu não sei...
Eu não sei...
Eu não sei...
De cada duzentas palavras que escrevo...
Cento e noventa e nove estão erradas e uma não existe na lingua portguesa...
A cada vinte e quatro horas que eu vivo...
Noventa porcento do meu dia é um disperdicio e a margem de erro para essa pesquisa é de dez pontos percentuais para mais ou para menos...
Cada pessoa que eu conheço é uma pessoa a menos para chamar de amigo...

quarta-feira, 6 de agosto de 2008

Mulheres Banais São de Mais




Mulheres são tão iguais... Mulheres são tão banais... Algumas com mais pudor... Outras não sabem nem mesmo o que está palavra significa... Mulheres preocupam-se de mais... Com a beleza e nada mais... Como se tudo que existe no mundo fosse belo... Como se tudo que vale no mundo fossem os belos... Como se os quadros mais caros do mundo fossem os auto-retratos de mulheres desnudas... Sim a lua é bela... Encantadora as vezes se revela toda... As vezes um pouco e isso chamamos de minguante... Você não entende a beleza da noite... A sabedoria das estrelas... A magia do luar... Mulheres banais... Se vestem tão iguais... Por fora a mesma capa... Por dentro o mesmo bombom sem graça... Mulheres banais... São tão iguais... Mulheres banais... Não tem conteúdo... Vivem no mundo... Mulheres banais... Ganham tudo de graça... Não lutam não tem raça... Mulheres banais... Depedem apenas da beleza... Do marido e da carne... Mulheres banais... São apenas enfeites... Embelezam a sua caza... Embelezam os nossos carros... Embelezam a vista de outros machos... Mulheres banais...

sexta-feira, 1 de agosto de 2008

Barbeador de Macho

50 Fatos Cientificos
1. A velocidade da luz, geralmente arredondada em 300.000 km/s, é de exatamente 299.792,548km/s.

2. São necessários 8 minutos e 17 segundos para a luz viajar da superfície do Sol à Terra.

3. 10% de todos os humanos já nascidos, estão vivos neste momento.

4. A Terra gira à 1.600 Km/h, mas viaja em sua órbita ao redor do Sol a mais de 107.000km/h.

5. Todo ano, um milhão de terremotos sacodem a Terra.

6. Quando Krakatoa entrou em erupção, em 1883, a força de sua explosão foi tão grande que pode ser escutada à mais de 7.700km de distância, na Austrália.

7. A cada segundo, 100 raios atingem a superfície Terrestre.

8. Todo ano, 1000 pessoas morrem vítimas de raios.

9. Em outubro de 1999, um iceberg do tamanho de Londres, soltou-se do continente Antártico.

10. Se você conseguisse dirigir seu carro na vertical, direto para cima, levaria apenas uma hora para chegar ao espaço (algo em torno de 65km).

11. A Tênia, um verme que pode viver no sistema digestivo humano, pode atingir quase 23 metros de comprimento.

12. A Terra tem 4,56 bilhões de anos, a mesma idade da Lua e do Sol.

13. Os dinossauros extinguiram-se antes da formação das Montanhas Rochosas e dos Alpes.

14. A aranha Viúva Negra, come o macho depois do acasalamento.

15. Quando uma pulga salta, a aceleração à qual ela se submete chega à 20 vezes a de um Ônibus Espacial durante o seu lançamento.

16. Se o Sol tivesse apenas 1 centímetros de diâmetro, a estrela mais próxima dele estaria à 285 quilômetros de distância.

17. Astronautas não conseguem arrotar quando no espaço – não existe gravidade para separar os líquidos dos gasosos em seus estômagos.

18. O ar no topo do Monte Everest, à 8.850 metros de altura, só tem um terço da densidade que apresenta ao nível do mar.

19. 1/1.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000 de segundos antes do Big Bang, o universo era do tamanho de uma ervilha.

20. O DNA foi descoberto em 1869 pelo suíço Friedrich Mieschler.

21. A estrutura molecular do DNA foi determinada pela primeira vê zem 1953 por Watson e Crick.

22. O primeiro cromossoma humano foi construído por cientistas americanos em 1997.

23. O termômetro foi inventado em 1607 por Galileu Galilei.

24. Alfred Nobel, pai do famoso prêmio, foi o inventor e fez fortuna com a dinamite em 1866.

25. Wilhelm Rontgen venceu o primeiro Prêmio Noval de Física em 1895, por ter descoberto o raio-x.

26. A maior árvore documentada foi um eucalipto australiano, que em 1872 tinha pouco mais de 130 metro de altura.

27. Christian Barnard fez o primeiro transplante de coração em 1967, o paciente sobreviveu 18 dias com o novo órgão.

28. Uma enguia elétrica pode dar um choque de 650 volts.

29. Comunicações sem fio deram um grande passo em 1962, com o lançamento do Telstar, o primeiro satélite capaz de retransmitir sinais de telefone e televisão.

30. O vírus Ebola mata 80% dos humanos que infecta.

31. Dentro de 5 bilhões de anos, o sol vai ficar sem energia e se transformar em um “gigante vermelho”

32. As girafas dormem apenas vinte minutos por dia. Eventualmente, elas podem dormir até 2 horas por dia, mas nunca de uma só vez, sempre em pequenos cochilos.

33. O corpo humano tem mais de 96.000 km de vasos sangüíneos.

34. Uma célula sangüínea leva apenas 60 segundos para completar uma circulação completa pelo corpo.

35. No dia que Alexander Graham Bell foi enterrado, todo o sistema de telefonia dos EUA foi desligado por um minuto, em sua homenagem.

36. O chamado de baixa freqüência feito pela baleia jubarte, é o som mais barulhento produzido por um ser vivo.

37. 25% de todas as plantas do mundo estão ameaças de extinção até o ano 2010.

38. Cada pessoa perge 40Kg de pele durante sua vida.

39. Com 37 centímetros, as lulas gigantes são os seres vivos com maior olhos da Terra.

40. O Universo contém mais de 10 bilhões de galáxias.

41. Quando se colocam larvas sobre feridas, elas curam mais rápido e sem risco de infecções ou gragrenas.

42. Mais germes se transferem em um aperto de mãos que em um beijo.

43. A velocidade mais rápida com que a chuva cai, são 29km/h.

44. Seria necessária uma hora inteira para um objeto pesado afundasse 10,9Km, no local mais profundo de todos os oceanos.

45. Cerca de um quatrilhão de neutrinos do Sol passaram através do seu corpo enquanto você lia esta frase.

46. O local mais profundo de todos os oceanos são as Fossas Marianas, no pacífico, com exatos 10.910 metros.

47. A cada hora, o universo se expande 1,6 bilhões de quilômetros (um bilhão de quilômetros em cada direção).

48. Parte da interferencia na sua TV se deve as ondas do Big Bang que gerou o universo. (valeu Ulabob)

49. Mesmo viajando à velocidade da luz, seriam necessários dois milhões de anos para ir da Terra à galáxia mais próxima, Andrômeda.

50. Um dedal de neutros de uma estrela, pesa mais de 100 milhões de toneladas.

Matemática Brasileira

1 carioca = 1 surfista
2 cariocas = 2 surfistas
3 cariocas = 1 boca de fumo
4 cariocas = um arrastão
----------------------------
1 baiano = um escritor famoso
2 baianos = uma luta de capoeira
3 baianos = um grupo de axé
4 baianos = um terreiro de macumba
----------------------------
1 paulista = uma micro-indústria
2 paulistas = uma indústria de médio porte
3 paulistas = uma indústria de grande porte
4 paulistas = uma catástrofe ecológica
----------------------------
1 paraíba = um porteiro
2 paraíbas = repentistas tirando versos
3 paraíbas = um canteiro de obras
4 paraíbas = um caminhão de pau-de-arara indo para Cidade Grande
----------------------------
1 gaúcho = um cabra macho, tchê!
2 gaúchos = uma briga de faca
3 gaúchos = um rodeio
4 gaúchos = uma parada gay

Nem Aurélio Buarque de Hollanda Ferreira para Definir Melhor

AMOR: Palavra de quatro letras, duas vogais, duas consoantes e dois idiotas.
AMIGA/AMIGO: Diz-se da pessoa do sexo oposto que tem esse "não sei o quê" que elimina toda intenção de querer deitar-se com ela/ele.
ARQUITETO: Diz-se de um cara que não foi suficientemente "macho" para ser engenheiro, nem suficientemente bicha para ser designer.
SUPERMODELOS: Evidência que todos nós fomos mal feitos.
FUTEBOL: É com quem toda mulher se casa sem saber.
REALISTA: É alguém que leva uma bomba de mentira quando voa, porque isso diminui as possibilidades de que haja outra bomba no mesmo avião. (Laurence J. Peter)
COMPUTADOR: Máquina inventada para resolver problemas que ainda não existiam antes da sua criação.
PROGRAMADOR: É o que te resolve um problema que você não sabia que tinha, de uma maneira que você não compreende.
FÍSICO QUÂNTICO: É um homem cego em um quarto escuro, procurando por um gato preto que não esta lá.
ADVOGADO: É uma pessoa que escreve um documento de 10.000 palavras e o chama "sumário" (Franz Kafka)
PSICÓLOGO: É aquele que olha todos os demais quando uma mulher atraente entra na sala.
CONSULTOR: É alguém que tira o relógio do teu pulso, te diz a hora e te cobra por isso.
DIPLOMATA: É quem lhe diz vá a merda de um modo tal que você fica ansioso para começar a viagem.
TÉCNICO: Profissional apaixonado que sabe um pouco de tudo o que cerca sua área.
FÁCIL: Diz-se da mulher que tem a moral sexual de um homem.
INDIFERENÇA: Atitude que adota uma mulher diante de um homem que não lhe interessa, que é interpretada por ele como "está se fazendo de difícil".
LÍNGUA: Órgão sexual que alguns degenerados usam para falar ou tomar sorvete.
MODÉSTIA: Reconhecer que alguém não é perfeito, mas não dizer a ninguém.
NINFOMANÍACA: Termo com o qual um homem define uma mulher que deseja fazer sexo mais freqüentemente que ele.
TRABALHO EM EQUIPE: Possibilidade de jogar a culpa nos outros.

Tabela de Gradução dos Machos

1 - Esportes
A - Futebol, automobilismo, esportes radicais. (Macho)
B - Tênis, boliche, lutas, voleibol. (Tendências gays)
C - Aeróbica, spinning. (Gay)
D - Patinação no Gelo, Ginástica Olímpica. (Bichona)
E - Os mesmos anteriores, usando short de lycra. (Louca)


2 - Comidas
A - Capivara, javali, comida muito apimentada. (Conan)
B - Churrasco, Massas, Frituras. (Macho)
C - Peixe e salada. (Fresco)
D - Sanduíches integrais. (Gay)
E - Aves acompanhadas de vegetais cozidos no vapor. (Bicha assumida)


3 - Bebidas
A - Cachaça, cerveja, whisky. (Macho)
B - Vinho, vodka. (Homem)
C - Caipifruta. (Gay)
D - Suco de frutas normais e licores doces. (Muito gay)
E - Suco de açaí, carambola, cupuaçu, com adoçante. (Perdidamente gay)


4 - Higiene
A - Toma banho rápido, usa sabão em barra. (Legionário)
B - Toma banho rápido, usa xampu e esquece das orelhas ou do pescoço. (Macho)
C - Toma banho sem pressa, curte a água e soca umazinha. (Homem)
D - Demora mais de meia hora e usa sabonete líquido. (Tendências gays sérias)
E - Toma banho com sais e espuma na banheira. (Viadaço assumido)


5 - Cerveja
A - Gelada e em grandes quantidades. (Macho)
B - Só cervejas extra, premium e importadas. (Homem fino demais)
C - Só uma às vezes para matar a sede. (Bichice sob controle)
D - Com limão e guardanapo em volta do copo. (Bicha)
E - Sem álcool. (Gazela saltitante)


6 - Presentes que gosta de ganhar
A - Ferramentas. (Ogro)
B - Garrafa de whisky. (Macho)
C - Eletrônicos, informática, roupas de homem. (Homem moderno)
D - Flores. (Viado)
E - Velas aromáticas, perfumes, doces caramelados, bombons. (Donzela virgem)


7 - Cremes
A - Só pasta de dentes. (Macho)
B - Protetor solar só na praia e piscina. (Homem moderno)
C - Usa cremes no verão. (Bicha fresca)
D - Usa cremes o ano todo. (Bichona total)
E - Não vive sem hidratante. (Fila de espera da operação pra troca de sexo)


8 - Animais de estimação
A - Animal de quê? (Macho)
B - Tem um vira-lata que come restos da comida. (Homem)
C - Tem cão de raça que vive dentro de casa e come ração especial. (Bicha)
C - O cão de raça dorme na sua própria cama. (Bichona total)
E - Prefere gatos. (Totalmente passiva)


9 - Plantas
A - Nem pra comer. (Troglodita)
B - Come algumas de vez em quando. (Rambo)
C - Tem umas no quintal, nem são regadas. (Homem)
D - Tem plantinhas na varanda do apartamento. (Viado)
E - Rega, poda e conversa com as flores do jardim. (Bichona perdida)


10 - Espelho
A - Não usa. (Viking)
B - Usa para fazer barba. (Macho)
C - Admira sua pele e observa seus músculos. (Gay)
D - Idem c, e ainda analisa a bunda. (Louca)
E - Admira-se com diferentes camisas e penteados. (Traveco)


11 - Penteado
A - Não se penteia. (Macho)
B - Só se penteia pra sair à noite. (Homem)
C - Se penteia várias vezes ao dia. (Fresco)
D - Pinta o cabelo. (Bichona total)
E - Dá conselhos de penteados. (Bichaça louca)


12 - Limpeza da casa
A - Varre quando a sujeira estala na sola do pé. (Animal)
B - Varre quando o pó cobre o chão. (Macho)
C - Varre uma vez por semana. (Fresco)
D - Limpa com água, detergente e aromatizante. (Gayzaço)
E - Usa espanador de pó e tem um avental. (É a esposa do espanador)


13 - Filmes
A - Sexta-feira 13, A Hora do Pesadelo, Brinquedo Assassino, Laranja Mecânica, Pânico. (Mad Max)
B - Indiana Jones; filmes de Charles Bronson, Chuck Norris e Bruce Lee. (Macho)
C - Os Trapalhões, Loucademia de Polícia, Um Tira da Pesada. (Fresco)
D - Forrest Gump, A Lagoa Azul; filmes de Richard Gere, Leonardo di Caprio e Julia Roberts. (Bichona)
E - Super Xuxa contra o Baixo-Astral, Eliana e o Segredo dos Golfinhos. (Gazelaça)