Está tão frio aqui... Está tão gelado que... Sinto meus pés adormecerem... Estou perdendo o tato... Os meus olhos estão secos... O meu corpo está esfriando... Estou congelando aqui... Estou congelando aqui... Estou congelando... Estou congelando... Estou... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou com frio... Tão gelado quanto o gelo é meu coração agora... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... esquente-me... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... esquente-me... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou com muito frio... Minhas mãos estão congeladas... Minhas pernas também... Os meu labios estão ressecados... E meu coração está pedrificado... Uma pedra de gelo maciça... Frio... Esta frio... Esta frio... Friooo... Friooo... Friooo... Estou com frio... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou congelando... Estou congelando... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooo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iiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooo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sexta-feira, 29 de agosto de 2008
Está tão frio aqui... Está tão gelado que... Sinto meus pés adormecerem... Estou perdendo o tato... Os meus olhos estão secos... O meu corpo está esfriando... Estou congelando aqui... Estou congelando aqui... Estou congelando... Estou congelando... Estou... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou com frio... Tão gelado quanto o gelo é meu coração agora... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... esquente-me... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... esquente-me... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou com muito frio... Minhas mãos estão congeladas... Minhas pernas também... Os meu labios estão ressecados... E meu coração está pedrificado... Uma pedra de gelo maciça... Frio... Esta frio... Esta frio... Friooo... Friooo... Friooo... Estou com frio... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Estou congelando... Estou congelando... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo... Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooooooooooooo...Friiiiiiiiiiiiiiii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